Photo du stand de l'éditeur Stéphane Bachès, qui a remis au goût du jour les recettes de grand-mère des régions de France, en leur donnant de jolies couvertures de vieux carnets de cuisine.
Hier soir, visite au Salon du Livre gourmand de Bruxelles, qui se tient jusqu'à dimanche prochain.
C'est la Slovénie qui est à l'honneur de ce salon 2007. Il y a là les producteurs de sel, d'huile d'olive et de vin, tous plus empressés les uns et les autres à nous faire goûter leurs produits du terroir, traités selon des méthodes artisanales. Je goûte de l'huile d'olive extra-vierge et de l'huile d'olive à l'orange, rond de parfum et sans doute parfait pour une pâte à tarte sucrée. D. goûte différents vins pendant que je m'affaire déjà dans les livres de recettes. Son verdict sur les cépages slovènes est mitigé: certains un peu trop fleuris à son goût. Mais d'autres, comme le Refosk, étaient tout à fait intéressants.
J'erre un peu au gré des stands. L'exposition n'est pas très grande, mais il y a un second étage où l'on peut observer les résultats de la cuisine moléculaire (des billes de curaçao dans un verre de cocktail) et acheter sept doses microscopiques d'agar agar pour une somme faramineuse. Heureusement, on peut aussi y goûter les gaufres au praliné de Galler, des vins de fruits, observer les cours de cuisine de l'Atelier des chefs et de Mmmmmh (je ne sais plus combien de m...). Le second me convainc plus que le premier, sans doute parce que le choix de chefs et de recettes me semble plus original et plus vaste.
Je repère au passage quelques ouvrages qui, à coup sûr, feraient mon bonheur de Noël, dont La cuisine des maman, le nouveau livre de Filip Verheyden à qui on doit déjà la trilogie sur la base, le produit et le plat aux éditions Homarus. Un très bel ouvrage, qui recense de vraies recettes de vraies mamans belges, des plus traditionnelles aux plus adorables du style "le plat préféré de papa"...
En flânant encore, je tombe sur un livre détaillant de façon précise et photos à l'appui la confection des différentes pâtes pour tartes salées et sucrées: Les tartes d'Eric Kayser, à la main boulangère déjà bien connue. Après les pâtes suivent les recettes de tartes, expliquées de façon très didactique (ce qu'il y a à faire la veille - le jour même - etc.). J'étais en train de dévorer des yeux la tarte au thé matcha et groseilles, quand le monsieur du stand m'aborde et me demande ce que ce pense de l'ouvrage. Pas mal, que je lui réponds, de bonnes explications, de belles photos, et mêmes des photos du chef qui malaxe lui-même ses pâtes, comme là, à la page suivante, où on le voit bien et... mais... attendez... mon regard va du livre au monsieur de stand. "Mais c'est vous, là!", que je dis bêtement. Eric Kayser en personne, oui, qui gentiment répond aux questions des mamans cherchant des recettes non-kayseriennes (ah toutes ces personnes ignares qui ne savent pas reconnaître un auteur du premier coup d'oeil, quand même...) tout en me parlant de ses tartes.
Hier soir, visite au Salon du Livre gourmand de Bruxelles, qui se tient jusqu'à dimanche prochain.
C'est la Slovénie qui est à l'honneur de ce salon 2007. Il y a là les producteurs de sel, d'huile d'olive et de vin, tous plus empressés les uns et les autres à nous faire goûter leurs produits du terroir, traités selon des méthodes artisanales. Je goûte de l'huile d'olive extra-vierge et de l'huile d'olive à l'orange, rond de parfum et sans doute parfait pour une pâte à tarte sucrée. D. goûte différents vins pendant que je m'affaire déjà dans les livres de recettes. Son verdict sur les cépages slovènes est mitigé: certains un peu trop fleuris à son goût. Mais d'autres, comme le Refosk, étaient tout à fait intéressants.
J'erre un peu au gré des stands. L'exposition n'est pas très grande, mais il y a un second étage où l'on peut observer les résultats de la cuisine moléculaire (des billes de curaçao dans un verre de cocktail) et acheter sept doses microscopiques d'agar agar pour une somme faramineuse. Heureusement, on peut aussi y goûter les gaufres au praliné de Galler, des vins de fruits, observer les cours de cuisine de l'Atelier des chefs et de Mmmmmh (je ne sais plus combien de m...). Le second me convainc plus que le premier, sans doute parce que le choix de chefs et de recettes me semble plus original et plus vaste.
Je repère au passage quelques ouvrages qui, à coup sûr, feraient mon bonheur de Noël, dont La cuisine des maman, le nouveau livre de Filip Verheyden à qui on doit déjà la trilogie sur la base, le produit et le plat aux éditions Homarus. Un très bel ouvrage, qui recense de vraies recettes de vraies mamans belges, des plus traditionnelles aux plus adorables du style "le plat préféré de papa"...
En flânant encore, je tombe sur un livre détaillant de façon précise et photos à l'appui la confection des différentes pâtes pour tartes salées et sucrées: Les tartes d'Eric Kayser, à la main boulangère déjà bien connue. Après les pâtes suivent les recettes de tartes, expliquées de façon très didactique (ce qu'il y a à faire la veille - le jour même - etc.). J'étais en train de dévorer des yeux la tarte au thé matcha et groseilles, quand le monsieur du stand m'aborde et me demande ce que ce pense de l'ouvrage. Pas mal, que je lui réponds, de bonnes explications, de belles photos, et mêmes des photos du chef qui malaxe lui-même ses pâtes, comme là, à la page suivante, où on le voit bien et... mais... attendez... mon regard va du livre au monsieur de stand. "Mais c'est vous, là!", que je dis bêtement. Eric Kayser en personne, oui, qui gentiment répond aux questions des mamans cherchant des recettes non-kayseriennes (ah toutes ces personnes ignares qui ne savent pas reconnaître un auteur du premier coup d'oeil, quand même...) tout en me parlant de ses tartes.
Voilà donc mes rencontres de la soirée: un chef, plusieurs Slovènes, un monsieur qui a essayé de m'enrôler pour des cours, un éditeur qui chine les brocantes pour retrouver les carnets de grands-mères oubliées... Aujourd'hui c'est Pierre Hermé en personne, accompagné de Julie Andrieu, qui devait venir faire la promotion de son nouveau livre. Comme quoi, Bruxelles accueille des stars de la cuisine, le temps d'un week-end.
1 commentaire:
Il me semble qu'il manque 2m à ton Mmmmmmmmmmmh ;-) Cela avait l'air pas mal, vu comme tu le racontes! bon début de semaine!
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